Le digital, un tremplin pour la performance de la fonction finance
[/et_pb_text][/et_pb_column][et_pb_column type=”1_2″ _builder_version=”4.7.3″ _module_preset=”default”][et_pb_text _builder_version=”4.7.3″ _module_preset=”default” text_font=”||||||||” text_text_color=”#8585bd” text_font_size=”16px” text_line_height=”1.9em” header_font=”Montserrat||||||||” header_font_size=”20px” header_line_height=”1.4em” header_2_font=”Candara||||||||” header_2_font_size=”48px” header_2_line_height=”1.2em” header_4_font=”|700|||||||” header_4_font_size=”16px” header_4_line_height=”1.9em” custom_margin=”||0px||false|false” custom_padding=”3vw|1vw|3vw|1vw|true|true” animation_style=”zoom” animation_intensity_zoom=”6%” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″]Aujourd’hui, le pilotage d’une entreprise n’a plus grand-chose à voir avec la manière de faire du siècle passé.
Si, hier, il était envisageable de construire et déployer des stratégies sur le long terme sans changer de cap, de nos jours, les entreprises doivent se réinventer en permanence et anticiper les prochains virages à négocier.
La faute à un environnement géopolitique, concurrentiel et même réglementaire de plus en plus fluctuant et incertain. Sans compter que le tempo économique est devenu allegro. Le digital est devenu un tremplin pour la performance de la fonction finance.
[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version=”4.7.3″ _module_preset=”default” custom_padding=”50px||50px||true|false” hover_enabled=”0″ custom_padding_last_edited=”on|phone” custom_padding_tablet=”0px||25px||false|false” sticky_enabled=”0″][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.7.3″ _module_preset=”default”][et_pb_text _builder_version=”4.7.3″ _module_preset=”default” text_font=”Montserrat||||||||” text_text_color=”rgba(0,0,0,0.86)” text_font_size=”16px” link_font=”||||on||||” link_text_color=”rgba(0,0,0,0.86)” header_font=”Candara bold||||||||” header_text_color=”rgba(0,0,0,0.66)” header_font_size=”52px” header_line_height=”2em” header_2_font=”Montserrat||||||||” header_2_text_color=”#7ba300″ header_2_font_size=”30px” header_2_line_height=”1.5em”]Se mettre au diapason ou disparaître, il n’y plus d’autre alternative. Pour rester dans la course et continuer à gagner des parts de marché, les entreprises sont dans l’obligation de développer leurs capacités d’analyse et d’anticipation et aiguiser leur agilité.
La finance comme “business partner” est forcément digitalisée
La fonction Finance a un rôle clé à jouer pour contribuer activement et pro activement au développement de l’entreprise, en donnant de la visibilité et de la hauteur aux équipes dirigeantes ou opérationnelles et en livrant une vision à la fois globale et détaillée de l’activité à court et moyen terme. Seules les entreprises qui s’appuient sur des informations fiables et régulières peuvent en effet prendre les décisions qui s’imposent et agir vite.
L’enjeu est crucial. Fort heureusement, le digital s’impose comme un allié précieux pour les directions financières et l’ensemble de la fonction finance. Il permet de renforcer et consolider ainsi la dimension business de la fonction.
La Covid-19 a d’ailleurs mis sur le devant de la scène l’impérieuse nécessité de la dématérialisation et de la digitalisation pour les entreprises. La crise financière qui en découle enfonce un peu plus le clou. Elle accélère le besoin de transformation et d’optimisation des organisations et de leurs processus métiers. La réduction des coûts de fonctionnement s’est réinvitée au cœur des stratégies des entreprises. Un objectif qui plaide en faveur de l’automatisation des tâches pour gagner du temps.
Et, la fonction finance ne fait pas exception. Or, Excel® reste encore bien souvent l’outil privilégié par les équipes financières, et ce quelle que soit la taille de l’entreprise. Simple, facile à prendre en main et massivement adopté et maîtrisé par les professionnels du chiffre depuis des décennies, il présente de nombreux avantages. Néanmoins, sa plus grande force est celle de l’habitude. C’est par force de l’habitude et par facilité que nombre de professionnels du chiffre demeurent attachés à Excel®, alors même qu’il s’avère de moins en moins adapté aux contraintes et enjeux des directions financières.
En effet, le traitement manuel des informations est une activité chronophage et à faible valeur ajoutée. Associé à la multiplication des tableurs, il représente une source non négligeable d’erreurs, parfois difficiles à détecter mais aux conséquences préjudiciables. Peu adapté aux volumétries importantes, le fameux logiciel ne se prête pas non plus à un processus budgétaire collaboratif. Les manques de traçabilité et de fiabilité sont autant de pierres supplémentaires dans le jardin d’Excel®.
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